Piano paradiso – Les déchargeurs
Un film sans musique, c’est Hollywood sans vedettes, c’est Cannes sans starlettes, c’est le Mans sans rillettes !
Un pianiste un brin espiègle et farfelu a pour rêve ultime de composer des musiques de films, sa passion depuis l’enfance. Mais le chemin pour y parvenir est plus sinueux que prévu.
Après le succès de Piano Rigoletto (plus de 400 représentations), le nouveau spectacle d’Alain Bernard multipliant les facéties et abordant de nombreux genres musicaux est aussi une émouvante déclaration d’amour à la musique de cinéma.
LE MOT D’ALAIN BERNARD
Quel plaisir de revenir aux Déchargeurs !
C’est là qu’il y a six ans jour pour jour commençait la formidable aventure de Piano Rigoletto. Six ans de représentations, de tournées, de festivals, de rencontres et de découvertes. Mais il faut savoir se renouveler !
Sur les conseils toujours avisés de Pascal Légitimus, j’ai contacté Gil Galliot qui m’a fait le grand honneur d’accepter le challenge de m’aider à concevoir un nouveau spectacle. Notre collaboration a été très fructueuse : grand professionnel du théâtre, à la fois auteur, comédien et metteur en scène, Gil Galliot m’a apporté sa grande expérience, aussi bien dans le domaine de l’écriture que celui du jeu d’acteur.
On retrouve dans Piano Paradiso la fantaisie et la bonne humeur de Piano Rigoletto, mais avec plus de théâtralité et d’émotion.
Puisse ce nouveau spectacle connaître le même parcours que son grand frère !
LE MOT DU METTEUR EN SCÈNE
J’ai eu l’opportunité de mettre en scène, parallèlement à une soixantaine d’œuvres théâtrales, des « seul en scène » mais également des spectacles musicaux. Avec Alain Bernard, je vais expérimenter, pour la première fois, la combinaison du « seul en scène » et du spectacle musical.
Il m’est apparu rapidement qu’il fallait bâtir une histoire autour de sa personnalité tout en inventant une dramaturgie originale. Voilà comment l’idée de Piano Paradiso s’est très vite imposée. L’histoire d’un musicien-compositeur qui se présente en scène comme un compositeur de musique de films mais dont nous allons vite nous rendre compte qu’il n’a jamais pu aller au bout de son rêve. Un rêve contrarié donc, qu’il va essayer de sublimer en scène en se racontant, en inventant des univers, en évoquant ses errances.
Piano Paradiso, tout en restant sous le signe de l’humour, se veut l’épopée solitaire d’un musicien rêveur à travers les musiques de films, les chansons éternelles, les balades de jazz nostalgiques ou le répertoire classique… Un artiste qui le temps d’une confession légère et loufoque tente d’allier le désir et le réel. Pour cette création de Piano Paradiso, mon travail consistera à donner à voir autant qu’à entendre. Et que chacune des deux expressions artistiques Musique et Théâtre se nourrissent l’une l’autre.
Piano Paradiso…un spectacle d’humour mais également un rêve éveillé, une forme de poésie scénique que seul le souffle musical a le pouvoir d’évoquer.
GIL GALLIOT
[Source texte : Communiqué de presse]
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